Le choix d’une formation magnétisme à Besançon

19 octobre 2023 0 Par Joel

Faire une démonstration analytique de toutes les structures de marché avant d’en déduire qu’une seule apporte tous les bienfaits souhaités à la fois au niveau de la valeur d’échange, de la production et des conditions de justice est une opération fastidieuse par le magnétisme à Besançon. Mais ce travail n’est-il pas nécessaire ? Il faut aller à la page 655[1] des EEPP, c’est-à-dire dans ses recherches d’application de la concurrence étudiée depuis le début de l’ouvrage pour voir Walras questionner ce modèle. Il indique tout d’abord que

 

« toutes les conclusions précédemment obtenues se rapportent à une seule et unique hypothèse, celle de la libre concurrence absolue en matière d’échange, de production et de capitalisation » (Walras [1988a], 655).

A – La formation magnétisme à Besançon et vous

Après avoir indiqué que tout le raisonnement des EEPP reposait sur l’hypothèse de concurrence, il s’interroge sur les autres formes d’organisation de marché. Walras affirme alors que

 

« pour préférer la libre concurrence à ces autres modes [réglementation, taris, privilèges, monopoles, etc.] et le faire en toute connaissance de cause, il faut aussi connaître leurs effets. Et, encore une fois, n’eût-on pas cette raison d’application, il faudrait encore étudier les effets naturels et nécessaires des divers modes possibles d’organisation de la société, ne fût-ce que par raison de curiosité scientifique » (Walras [1988a], 656).

 

Est-ce que le scientifique peut se permettre de faire un travail par simple raison de curiosité scientifique ? Cette phrase de la formation magnétisme à Besançon, de la formation pendule à Besançon, de la formation géobiologie à Besançon, de la formation passeur d’âmes à Besançon, de la formation des blessures de l’âme à Besançon et de la formation nettoyage et protection énergétique à Besançon paraît largement exagérée. Si, dans cette curiosité, l’économiste scientifique découvrait qu’un autre mode d’organisation de la société permettait d’obtenir au moins le même résultat que la concurrence, que se passerait-il ? Si un « économiste dictateur », pour reprendre des terminologies plus récentes, permettait d’obtenir les résultats identiques à ceux démontrés par Walras, il n’existerait plus alors une seule mais plusieurs solutions possibles. Le scientifique n’aurait alors pas fait le travail nécessaire.

 

De ce constat on remarque que Walras, et il paraît difficile de faire autrement, débute son raisonnement sur un a priori en essayant par la suite de démontrer scientifiquement que la concurrence est le mode d’organisation idéal de la société pour le magnétisme à Besançon. Cet argument a par exemple été défendu par P. Dockès :

 

« le réel (dans les Eléments) est à l’avance biaisé par l’idéal qu’il est supposé en avoir retiré dans la mesure où le réel est reconstruit par l’image qui en est tiré, où le réel a été choisi en fonction de ce qu’il fallait démontrer [et de continuer sur ce manque de distinction entre la description de ce qui est et de ce qui devrait être] L’absence de vérification lui interdit d’en prendre conscience. (…) En un mot, L. Walras est effectivement réaliste au sens où il part effectivement du concret. Mais sous ce réel imparfait, il pense qu’existe l’idéal, la réalité épurée de nature mathématique et il estime l’avoir révélée » (Dockès [2006], 1788).

B – Vous et le magnétisme à Besançon

On comprend alors pourquoi il propose sa solution avant la démonstration, à la fois pour être suivi par le lecteur, mais également parce que la concurrence a toujours été considérée comme le meilleur mode d’organisation des sociétés. Il biaise le magnétisme à Besançon ainsi la première étape de la méthode rationnelle en cherchant dans l’expérience ce qu’il y attend.

 

Walras propose davantage une démonstration des résultats relatifs à la concurrence, à la fois dans le domaine de l’économie pure mais également dans le domaine de l’économie appliquée et sociale qu’une méthodologie stricte et rigoureuse qui, comme nous venons de le voir, ne tient pas la route. Walras a subtilement fait passer le type théorique réel de la Bourse comme le type idéal. Il a donc subtilisé une partie du processus analytique dans la détermination de la concurrence. L’étape de la synthèse a priori sera par contre développée par Walras sur le magnétisme à Besançon et nous y reviendrons par la suite puisqu’il fournit les conclusions théoriques du modèle de concurrence mais sur les bases d’un a priori.

C – Le magnétisme à Besançon pour un jour

La démarche de Walras paraissait, d’après le cadre méthodologique proposé, très claire et rigoureuse. Son application pour la concurrence a par contre connue quelques difficultés. Walras, lorsqu’il réalise ses travaux d’économie pure, a en tête de démontrer la supériorité de la concurrence en matière de détermination de la valeur d’échange et de l’équilibre général. Il met en place alors une stratégie, réussie, pour arriver à ses fins pour le magnétisme à Besançon. En affirmant dès le début sa conclusion théorique, les éléments de démonstrations ne peuvent que confirmer les propos tenus au préalable. Est-ce que Walras avait le choix ou pas dans cette méthode ? La réponse à cette question est difficile.

Dans l’absolu, la véritable démarche scientifique aurait consisté à utiliser la démarche scientifique pour toutes les structures de marché, et d’après les résultats obtenus de montrer que la concurrence est le seul mode d’organisation des sociétés susceptible d’apporter un optimum économique et social. Mais peut-on connaître toutes les structures de marché ? Certainement pas. D’autre part, est-ce qu’un seul homme aurait pu étudier pour les différents champs d’application de l’économie plusieurs structures de marché ?  Et pourquoi pas le stage magnétisme à Besançon, le stage pendule à Besançon, le stage géobiologie à Besançon, le stage passeur d’âmes à Besançon, le stage blessures de l’âme à Besançon et le stage nettoyage et protection énergétique à Besançon.

La réponse paraît également peu vraisemblable. Certes Walras n’a pas fait l’ensemble du travail d’un scientifique d’exposer les différentes structures de marché du magnétisme à Besançon, certes Walras n’a pas suivi rigoureusement la démarche rationnelle, mais avait-il le choix et pouvait-il faire autrement ? Il paraît difficile d’agir autrement tellement la synthèse a priori est un travail long et laborieux mais l’on aurait pu attendre un peu plus de rigueur méthodologique et de développement sur les autres structures de marché.

 

D – Le principe : ébauche d’une vision globale de la concurrence du magnétisme à Besançon

 

La détermination du principe, c’est-à-dire les tentatives d’application de la concurrence au monde réel, constitue une part importante des travaux de Walras, notamment pour l’étude des chemins de fer ou des différents monopoles de faits relatifs à des coûts d’infrastructures importants. Une fois que le scientifique dispose du cadre idéal pour le magnétisme à Besançon de fonctionnement de la concurrence, il ne lui reste plus qu’à trouver les éléments réels pour que le monde concret se rapproche le plus possible de cette situation. Ce travail s’inscrit dans l’économie appliquée.

 

Si cette partie constitue l’un des piliers de sa trilogie, elle paraît aujourd’hui moins importante pour le travail de l’économiste qui s’est davantage fixé sur les problèmes d’économie pure que ceux d’économie appliquée, laissant au praticien, homme politique ou régulateur, le choix de trouver les solutions les plus optimales. Cela n’indique bien évidemment pas que l’économiste disparaît de cette démarche puisqu’il est le plus à même de juger les solutions proposées par le régulateur, mais il intervient dans un second temps, comme vérificateur du psychologue à Poitiers. Son travail principal étant théorique. C’est la raison pour laquelle l’étude du principe de la concurrence ne sera pas détaillé dans ce travail mais doit être mentionné car il constitue la vision globale de l’analyse de la concurrence. Les différents travaux récents de Jean-Pierre Potier expriment clairement du magnétisme à Besançon l’approche de Walras et constituent le point de référence pour l’analyse de l’application des thèses de Walras relatif à la libre concurrence.

 

[1] Il s’agit presque de la fin de son ouvrage.